Dans le sous-bois traversé, Hunka marque un temps d’arrêt.
Je l’imite.
Et dans le silence de nos pas, nos respirations se mêlent, la futaie s’éveille.
Le parfum de l’air, le côtoiement des arbres, le babillage du peuple ailé…
Un bain de forêt qui redonne de l’énergie et de la vitalité en cette journée hivernale.

